28.03.2007

Et deux de plus...

2 albums photos en plus, depuis la frontiére bolivienne jusque Salta.

je profite d´une pause a Cafayate, Capitale du vin blanc, pour faire passer ces photos!
Demain matin, re-vélo vers Quilmes et ses ruines, vers Tafi del Valle, Tucuman et plus loin Mendoza, ou Guillaume le savoyard de Santiago me rejoint le 5 avril avec le topo, du matos et la grosse motive pour grimper pendant 10 jours :)

26.03.2007

PHOTOS!

Ouf! 4 nouveaux albums photos... nous revoila a la frontière Argentine.
:)

24.03.2007

Une Pause...

Oui une petite pause aprés avoir parcouru a pied, en train, en bus, en camion, en bateau, en taxico, en vélo... (me manque que le cheval) je ne sais pas combien de KM depuis mon dernier stop de plusieurs jours (c´était a Porto Velho au Brésil). J´ai un peu l´impression de n´avoir fait que bouger de terminal de bus en bateau, de bateau en vélo etc.

Argentina
Quand on passe la frontière entre la Bolivie et l´Argentine, on passe vraiment un cap. L´Argentine est dans un autre monde que la Bolivie. C´est comme si en descendant vers le Sud, on finissait par repasser au Nord. L´Argentine n´est pas l´Europe, mais on sent définitivement une plus forte proximité. En Bolivie la grande majorité de la population est indienne, descendants directs des incas et autres peuples andins, en Argentine on repasse dans un métissage plus européen, les couleurs de peaux sont également différentes du Brésil, parfois on se croirait qqe part vers le Sud de l´Italie. Les pizzas ont la pate fine, les viandes sont délicieuses et ne sont pas cuites comme des semelles de vieux cuir, les vins ont du bouquet, on donne même du pain avec les plats dans les restaurants ! Aux alentours des grandes villes (SSde Jujuy, Salta), on trouve même, parfois, une sorte de banlieue pavillonnaire, ou résonne le bruit des tondeuses a gazon, avec des vraies pistes cyclables et des couples qui poussent leur poussettes sur le trottoir (jamais vu un bébé en poussette en Bolivie!). A coté, on est toujours en Amérique latine, avec sa pauvreté et des milliers de gens qui luttent chaque jour pour récolter qqes Pesos en cirant des chaussures ou en vendant des bouts de ficelle ou des boites d´allumettes dans la rue. Je reste étonné par l´energie déployée par ces gens pour gagner qqes centavos, tout en gardant le sourire... Mais bon, on change de monde, c´est sur.
Petit mot au passage, et coups de pub pour un livre fascinant que j´ai dévoré pendant la remontée du fleuve Manicoré en Bolivie, pour ceux qui s´intéresse a l´Amérique latine et a son histoire: "Les veines ouvertes de l´Amérique Latine" d´Eduardo Galliano. Depuis que j´ai lu ce livre je ne regarde plus rien de la même façon ici; on comprends mieux les mécanismes qui font qu´un pays qui avait les plus grandes richesses minières ou agricoles ou autres, deviens un des pays les plus pauvre du globe. A lire absolument pour qui veut comprendre un peu mieux ce continent.

Viva la Pampa
Me voila donc le lundi 19 Mars en gare de Villazon en Bolivie devant un pont routier qui sépare les deux pays. La veille une soirée plutôt chargée (avec la compagnie de 3 sympathiques polonaises de Warsaw, et la rencontre surprise de 2 israeliennes que j´avais déja rencontrées a la frontiêre Brésilienne), laisse encore des traces, et c´est le cerveau nébuleux et en manque de sommeil que je vais passer la journée a faire la queue pour passer cette fichue frontière. On sens bien qu´ici c´est un des lieux de passage connu des narcotraffics en tout genre; tous les sacs sont fouillés sans exception, par 2 fonctionnaires pas vraiment pressés malgré les 100 ou 200 touristes qui cuisent lentement au soleil. C´est fichu pour le vélo ce jour la. Première nuit en Argentine sera donc dans un lit, tant mieux j´en avais besoin... J´aurais ainsi eu l´occasion de manger pour la première fois depuis 3 mois une viande un peu près cuite correctement!
Le lendemain j´enfourche mon vélo et commence un des plus beaux trajet de ce voyage... Traverser la pampa semi montagneuse entre La Quiaca et Salta (zone patrimoine de l´humanité, rien que ça!) est comme faire du vélo sur la palette d´un peintre fou qui aurait mélangé toutes les couleurs sur des centaines de Kms, sans aucune continuité. C´est un emerveillement constant, et a chaque canyon, a chaque nouvelle colline, nouvelle courbe, un paysage nouveau apparait dans des teintes et sous des formes différentes. Je ne pensais pas que la terre ou le roc pouvait avoir tant de couleurs! Variété des styles de paysages aussi, on passe d´une Pampa semi désertique (altiplano) plus ou moins plate et remplie de Lamas, avec quelques petites pyramides toutes blanches a l´horizon (La cordillère n´est pas loin), a des canyons engorgés aux couleurs fauves et aux rios secs, pour terminer vers Salta dans un jungle luxuriante entre des grosses collines escarpées... (Si avec ça l´office du tourisme de l´Argentine nord ne m´embauche pas, je ne sais plus quoi faire ;)
C´est ZE place pour faire du vélo! et je suis encore une fois bien récompensé des efforts d´avant.

Guillermo stupido
Petite surprise d´ailleurs... Je sentais le premier jour que j´avais les jambes lourdes et le souffle court, ça montait pas mal, mais régulièrement et je n´arrétais pas de maudire ma faiblesse que j´attribuais a ma cuite de l´avant veille et au repos forcé dans les longues remontées de fleuve en bateau. La vitesse étais ridicule et je soufflais comme un boeuf pour faire mes 100 kms, quand tout d´un coups "révélation!" je croise un panneau qui dit "Altitude 3800M"... Tout s´explique, en fait n´ayant pas vérifié j´étais persuadé d´être vers les 1000 M a tout casser et sans le savoir mon corps luttait surtout pour s´acclimater. Le panneau marquait un col, après ça descend :)

Aïe les genoux
vers le 3eme jour de vélo je commence a avoir sérieusement mal aux genoux... Stupido comme je suis je continue en espérant que ça passe. Les 4 et 5eme jour sont durs, la souffrance deviens difficile a supporter et j´ai l´impression d´avoir des épingles plantées dans le genou a chaque tour de roue. En plus c´est le moment que choisis le vent du Sud pour se réveiller et je me retrouve a lutter dans des grandes lignes droites avec un vent de + de 50kmh en pleine figure, heureusement la route descends en moyenne. A un moment, assis devant ce fichu vélo je commence a imaginer faire du stop, revendre ce tas de ferraille que je déteste et revenir au bons vieux moteurs qui brulent des trucs fossiles; je me vois revenir en France me faire opérer des genoux, marcher avec des béquilles etc... bref le moral au top. Bon de toute façon je suis au milieu de la pampa et mes timides essais pour lever le pouce devant les rares camions étant infructueux je décide d´aller au moins jusqu´au petit col suivant qui annonce une grande descente, ou je pourrais peut être prendre un bus et arréter de bousiller mes cartillages. Je finis par arriver en haut, après moult zigzags et d´innombrables grimaces ou gueulantes dans le désert contre ce corps si fragile et me lance enfin dans une descente de folie, Ouf! Providence qui aime les benets comme moi, je croise 2 argentins a vélos, voyageurs comme moi, qui souffrent dans la montée que je dévale comme une balle. On s´arrête, on se serre les pognes, on est tout les trois contents de rencontrer d´autres cinglés/mazos a 2 roues. Je leur conte mes petits malheurs et la Fernando a cette phrase géniale "et si tu remontais ta selle?"... Pas con. J´y avais bien pensé, mais mulet comme je suis je préférais passer les kms plutôt que re-régler le vélo. Bref je reçois un cours complet sur la bonne position sur un vélo et les dangers des mauvais réglages (notamment pour les genoux). Merci a Fernando et Pablo pour leurs conseils expérimentés.
Finalement je réussis a tout changer dans ma position et fais redescendre la douleur. La je suis a Salta et après ces 2/3 jours de repos j´ai l´impression que tout redeviens comme avant. Ouf! on ne va pas m´amputer et je vais continuer un peu la Bici...

Salta by night
Je suis bien calé dans le Youth Hostel "terra occulta", je rencontre 3 globe trotteur/teuse a l´heure, de tous les pays, suis rentré hier soir a plus de trois heures du mat après une bonne fiesta, et savoure les plaisirs d´une vraie "night life" (le Venez, l´Amazonie ou la Bolivie étant pas vraiment réputés pour ça). Je fais un peu flamber les pesos, mais aprés une semaine a vivre comme un cromagnon boucannier a chercher les bouts de bois entre les cactus pour faire mon feu, je me dois bien ça :)
Voila, sinon (MFL je te rassure!) le moral est au top, content d´avoir encore franchi qqes étapes dans ce trip et la santé est bonne voire excellente (des mollets en acier !), malgré un bizarre mal de tête ce matin en me levant, mais ça je crois c normal... ;)

23.03.2007

Salta la Pampa

ouf!
je viens d´arriver a Salta après 5 jours de vélo et bivouacs sauvages a travers un paysage de ouf (justement).
La je compte me reposer un peu, 1 ou 2 jours a Salta et continuer vers le Sud. Trop crevé pour raconter tout ça, et pourtant plein de choses a dire, le cerveau travaille a fond quand les jambes s´activent. Demain après une bonne grasse mat; ça devrait aller mieux.

20.03.2007

Argentina!

Au revoir et a bientot Bolivia, mais le grand sud appelle, et je repasserais de toutes facons en Bolivie sur le retour. Pour l´instant le programme: Descendre a vélo l´Argentine depuis la frontière bolivienne (La Quiaca, petit bled sur la ligne, d´ou j´écris cette note) jusqu´a Mendoza, ses falaises et ses vignobles (que du bon!), puis traverser la cordillère des Andes a l´ombre de l´Aconcagua pour aller rejoindre Guillaume Perillat a Santiago du Chile et aller se faire 2/3 belles ascencions dans le coin.

Aprés tout ca, et après la remontée du Chili par la cote pacifique, je compte bien prendre un peu plus de temps pour visiter la partie ouest de la Bolivie (Licancatur, Titicaca...), puis Perou, Equateur... La Bolivie mérite plus qu´un détour, et la je l´ai vraiment survolée, avec 7 jours de bateau, une soixantaine d´heures de bus, plus qqes unes en train ou a vélo. J´aurais tracé presque direct depuis la frontiere bresilienne (GuajaraMirin) jusqu´a la frontiere Argentine (Villazon).

Voila, voila, derniere nuit dans un lit, puis retour du train train quotidien, vélo, popotte, tente/bivouac, ptidej et
re-popotte, re-vélo, etc... En Argentine cette fois ci pour un tracé qui promet d´être haut en couleurs.

Je commence a avoir un sacré retard pour les photos! il manque tout Roraima, le Brésil et la Bolivie... Mais bon par ici l´internet est pas vraiment rapide, donc tant pis, je ferai un package plus tard quand j´aurais plus de temps et plus de bande passante.

Allez, fini de flemmarder dans les bus, il est temps de refaire chauffer les mollets :)

16.03.2007

Bolivia...

Je commence a avoir du mal a écrire en Frances, mon cerveau semble avoir switché vers l´Espagnol; les seuls moments ou il pense encore en français sont quand je fais ce blog...

Bon, de mémoire le dernier post date de Porto Velho, arrivée de la croisière fluviale sur le rio Madeira et départ en vélo vers la comunidad Arco Iris... donc:

Arco Iris
Je suis arrivé a la nuit tombée en pleine eclipse de lune (qui était pleine ce soir la), est fait l´appel rituel devant le pont de bois (houhouhou! façon indien la main devant la bouche) et ai été entendu. Je passerais 5 jours dans cet havre de paix. La communauté est un ensemble de petites maisons sur pilotis en bordure d´un grand lac (le lac Cujubin grande) a une trentaine de km de PortoVelho (Bresil); ici la seule condition est d´être paisible ou de rechercher le calme; Le petit groupe est chapeauté par Jackson, qui le premier est venu s´installer la avec sa femme. L´endroit est beau, calme et volupté, sans le luxe, pas vraiment nécessaire ici :) Les activités: hamac, pêche, poterie, tissage, méditation, bains dans le lac... Je fus bien reçu par la communauté, Jackson m´accorda sa confiance et me fit gouter au Daime, boisson sacrée des indiens d´Amazonie (Ayuhasca) pour deux nuits fortes de vision et de plongée introspective... No comment, c´est une expérience... à part.

Bolivia
J´enfourche de nouveau mon vélo, et m´arrache difficilement au cocon d´Arco Iris et de son doux rythme de vie... J´aurais aussi bien pu y passer 3 mois, mais je ne sais pas vraiment pourquoi, je sens que le voyage n´est pas fini, et je repars sur la route direction GuajaraMirin, ville frontière avec la Bolivie (mazochiste que je suis). Finalement j´arriverais en bus et de nuit a GuajaraMachin; bivouac sauvage dans un terrain vague, et après qqes formalités je traverse le rio Mamoré sur une barquasse et me retrouve en Bolivie. De nouveau frappé par le fait qu´un simple passage de frontière change autant de choses! Je trouve les gens plus simples, plus tranquilles; le pays est aussi bien plus pauvre, on le vois tout de suite, et pas seulement dans les étiquettes (tout est moitié prix voire moins). Le grand changement est que je peux enfin re-communiquer avec les gens, ouf! vive l´Espagnol. Je me renseigne, et comme a Manaus, j´arrive LE jour du départ de l´unique bateau qui remonte le fleuve Mamoré jusque Trinidad, le prochain n´étant même pas vraiment prévu... C´est le destin, j´achete de l´eau et des gateaux et embarque pour une nouvelle croisière fluviale de 5 / 6 jours.
Le rio est plus petit, le bateau est plus petit, pour le coups c´est une croisière un peu plus "roots" que la première; je dors dans ce que j´appelle l´étage Malcovitch, un réduit près du moteur avec une hauteur sous plafond de 50 cm. On se fait dévorer par les moustiques, et je me taperais le 3eme soir une fièvre a décoller le papier peint... a par ça la "croisière" se déroule sans trop de problèmes, on aperçois plein d´animaux et la forêt vierge semble en effet l´être... Mention spéciale pour le dauphin local, espèce de grand dauphin aux formes biscornues et a la jolie couleur rose bonbon.

Voila... la on est jeudi 15 mars et je viens d´arriver a Trinidad les flots, la ville ne s´appelle pas comme ça, mais a cause du Niño climatique, la région vis une des pires inondations de son histoire (cf: les news), et la route (quasi seule partie imergée du coin) est entourée de tentes et abris de fortune ou s´entassent les boliviens. Je ne peux pas vraiment être utile ici, (l´armée est déjà partout), a part en partageant les moustiques, et finalement prends un bus ce soir (dans 45mn!) pour Santa Cruz... Arrivée prévue demain vers 6 heures du mat
Bye...

08.03.2007

Aviso ! Avis !

Hola todas, todos,
hello all
salut les françaises/français

Como he perdido mi cuaderno con todos los contactos de la gente que he encontrado durante mi viaje en America Latina, pues no tengo mas su direccion email, asi que, porfavor, mandame un correo a: gv2012@gmail.com para que podemos quedar en contacto.

I've lost my address book with all emails of the people met during the trip... so you can send me an email, in order for me to have your contact details registered in Gmail (if already done, i must have it).

Bon, et pour les français qui n´ont pas compris ;) j'ai perdu ce fichu cahier de notes, donc si on s´est rencontré au Venez ou au Bresil, et que l´on a pas encore echangé de mails, je n´ai plus ni votre blog, ni votre email...

03.03.2007

Porto Velho

Les choses se sont un peu accélérées lors du premier matin passé a Manaus... alors que je me prélassais en profitant d´un vrai matelas, je finis par descendre au port pour me renseigner sur les bateaux qui remontent le rio Madeira vers Porto Velho. Je tombe pile sur la bonne personne qui m´informe: un bateau par le jour même, sinon il faut attendre 5jours pour le prochain... Rapide reflexion, de toutes façons je n´ai pas grand chose a faire a Manaus a part visiter l´Opera et le marche flottant, plus 2/3 trucs logistiques. Ok tope lá! et 100 reals plus tard j´ai un billet pour le ferry boat Ciudad de Manicore, départ 17h00. Je fais changer tout le pédalier du vélo, envoie un colis pour la France + 2/3 achats et manque de rater le bateau...
PS: Fabien jái fait envoyer a la casa la peinture chetée a El Pauji + 2/3 bricoles, quand tu la reçois fait moi signe, ok?
PPS: d´ailleurs quand tu la reçois ça serait bien que tu ouvres le paquet et la déplie un peu pour vérifier qu´elle a pas pourri ou je ne sais quoi (entre 20 et 30 jours de délais depuis le 26 fevrier)

Croisière fluviale
Partis mardi et arrivés samedi dans l´aprem, 4 bonnes journées ou 90pour cent du temps se passe dans un hamac! bref le bonheur, un vrai repos mental et physique. On passe ses journées a attendre les repas préparés collectivement par l´équipage en regardant les botos (dauphins d´eau douce du coin) faire des bulles dans l´eau, couleur café au lait, et chargée de centaines de troncs d´arbre a la dérive. 4 jours et 4 nuits bien tranquilles au milieu d´une forêt de hamacs de toutes les couleurs, entourés de brésiliens de tous ages, balloté par le clapot. Comme le bateau remonte le courant, il essaye de longer au plus près les cotés du fleuve, ce qui permet d´obc]server de près la vie sur les berges. Peu de secteurs restent occupés par la forêt primaire, et la majeure partie du fleuve portent les traces d´une occupation humaine. En tout cas, 4 jours de vrai repos; vive les Hamacs!

Porto Velho
je viens donc de débarquer a Porto Velho, bourgade a 150/200bornes de la frontière bolivienne capitale de l´Etat de Rondonia, poste illico ce petit message (que vous êtes en train de lire et paradoxalement que je suis aussi en train d´écrire) et file vers le lago Cujubin a une vingtaine de kilomètres de la, ou on m´a donné l´adresse d´une sympathique communauté (comunidad Arco Iris) ou je compte passer un ou deux jours avant de filer vers Guajaramerin et la frontière bolivienne. Véritablement trés trés court passage au Brésil qui mérite bien mieux que cela... mais bon on verra bien plus tard, et puis je suis encore au Brésil.

ARRGGHHH
sinon je viens de perdre coups sur coups deux trucs super importants que je voulais surtout pas perdre. Un, mes deux cartes mémoires pour l´appareil photo de 2Gigas et de 1gigas, pas grave... sauf qu´elles avaient toutes mes photos depuis Ciudad Bolivar, et je n´ai aucune sauvegarde (a part les photos du trek au Roraima dont Vincent, un des membres de l´expé, doit avoir copie). Bref, c´est plutot embettant, il y avait plein de photos que j´aimais bien et il ne me reste que celles publiées sur le blog en basse résolution. :((
M´enfin c´est mieux que rien... Merci internet.
Et deux mon carnet de notes, un cahier d´écolier que j´utilise comme journal de bord. Je venais justement de noircir des dizaines de pages depuis mon hamac, et j´y avais tout mon voyage, mes reflexions, mes délires, toutes les adresses des gens rencontrés, les mails etc...
Perte qui me touche et m´embete beaucoup... Mais bon c´est le destin. Plus aucunes traces écrites de ces derniers 3 mois, (si ce n´est le blog encore une fois! mais rien a voir avec le contenu du carnet)...
:(
Enfin, quand il n´y a pas de solution, il n´y a pas de problème; donc faisons confiance aux Shadoks et en avant pour Arco Iris et la Bolivie...

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